2007 Aura été l’Année de l’Arménie
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2007 Aura été l’Année de l’Arménie
Le Blog d’Etienne Chouard – http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/
Etienne Chouard en Arles – Mercredi 19 décembre 2007 – Il nous parle du Traité qui est selon lui “un Viol Politique” – Des Banques et de L’Argent – A écouter en Urgence – A faire circuler sans modération ! Partie 2 Le site d’Etienne…
Etienne Chouard en Arles – Mercredi 19 décembre 2007 – Il nous parle du Traité qui est selon lui « un Viol Politique » – Des Banques et de L’Argent – A écouter en Urgence – A faire circuler sans modération ! (Désolé pour la mauvaise qualité de l’Image – Le son par contre lui est IMPEC !)
Partie 1 – Partie 2 – Partie 3 – Partie 4
Déjà pourfendeur du projet de Constitution européenne rejeté par les français en 2005, l ’économiste et professeur d’informatique Etienne Chouard dénonce violemment le nouveau traité de Lisbonne. Une copie conforme du texte précédent, estime-t-il.
Etienne Chouard s’était fait connaître en 2005 grâce à son site internet qui décortiquait et dénonçait la Constitution européenne. Il revient aujourd’hui à la charge contre le nouveau traité européen de Lisbonne. Pour ce professeur d’économie, de droit et d’informatique d’un lycée du sud de la France, il s’agit sur le fond de la même Constitution , pourtant rejetée par les Français et les Hollandais. Et appelle à la combattre. Voir plus…
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Objet : Traité simplifié : Sarkozy confie qu’un référendum serait perdu car « Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements »
(Nouvelle Solidarité) – Bruno Waterfield, le correspondant à Bruxelles du quotidien britannique The Telegraph révèle aujourd’hui que Nicolas Sarkozy, devant un groupe de parlementaires européens réunis à huis-clos, a admis que » des référendums sur le nouveau traité européen étaient ’dangereux’ et perdants en France, en Angleterre et dans d’autres pays. Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements «
Parlant du référendum du 29 mai 2005, Sarkozy a dit que » La France n’était qu’en avance sur les autres pays dans son vote pour le NON. « . » La même chose arriverait dans tous les Etats membres si un référendum y était organisé « , a-t-il ajouté. » Un référendum aujourd’hui mettrait l’Europe en danger. Il n’y aura pas de traité si un référendum a lieu en France, et il en va de même pour un référendum au Royaume-Uni. »
Sources : http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_accueil.php3
« les outils sont exactement les mêmes, seul l’ordre a été changé dans la boîte à outils »
Les événements médiatiques du 18 octobre ont captivé l’attention du public, qui a semblé porter peu d’intérêt à l’accord intervenu à Lisbonne, au sein du Conseil européen, en vue de l’adoption d’un nouveau traité institutionnel. Pourtant beaucoup de Français, perturbés par le rejet du malheureux référendum de 2005, aimeraient comprendre en quoi le traité de Lisbonne diffère du projet de traité constitutionnel.
La différence porte davantage sur la méthode que sur le contenu. Le traité constitutionnel résultait d’une volonté politique exprimée dans la déclaration de Laeken approuvée à l’unanimité par les membres du Conseil européen : il s’agissait de simplifier les institutions européennes rendues inefficaces par les derniers élargissements, de mettre davantage de démocratie et de transparence dans l’Union européenne, et d’ouvrir « la voie vers une Constitution pour les citoyens européens ».
Cet objectif se reflétait dans la composition de la Convention, qui regroupait des représentants du Parlement européen et des Parlements nationaux, des gouvernements des Etats membres et de la Commission européenne. Et surtout ses débats étaient publics. Chacun pouvait peser le pour et le contre. Le projet de traité constitutionnel était un texte nouveau, inspiré par une volonté politique, et se substituant à tous les traités antérieurs.
Pour le traité de Lisbonne, ce sont les juristes du Conseil qui ont été chargés de rédiger le texte. Ils l’ont fait avec compétence et précision, en respectant le mandat qui leur avait été donné par le Conseil européen du 22 juin. Ils ont repris la voie classique suivie par les institutions bruxelloises, qui consiste à modifier les traités antérieurs par voie d’amendements : le traité de Lisbonne se situe exactement dans la ligne des traités d’Amsterdam et de Nice, ignorés du grand public.
Les juristes n’ont pas proposé d’innovations. Ils sont partis du texte du traité constitutionnel, dont ils ont fait éclater les éléments, un par un, en les renvoyant, par voie d’amendements aux deux traités existants de Rome (1957) et de Maastricht (1992).
ILLISIBLE POUR LES CITOYENS Lire la suite…