Lespacearcenciel.com Premier Bilan
Lespacearcenciel.com premier bilan
Ce site a été conçu et pensé avec l’idée du réseau et de l’interactivité entre les uns et les autres au niveau local, national et plus… Or aujourd’hui, ceci ne fonctionne pas. Pourquoi ?
1 – À cause de la gratuité sur Internet qui ne profite qu’aux très gros sites.
2 – À cause de la disponibilité croissante des outils pour créer son propre site.
3 – À cause de l’illusion de facilité qu’Internet donne aux non-initiés.
4 – À la multitude de l’information. Il y a tout et son contraire.
5 – Au manque de conscience de ses utilisateurs. Chacun tirant la couverture vers SOI.
6 – À la parole ne débouchant pas sur des actes concrets. (Manque de conviction et Volonté réelle de participer au changement).
7 – À l’argent, qui ne s’auto génère que par la volonté de convaincre aux forceps ! (Or Internet, par l’idée du réseau, est contraire à cet acte : Qui consiste à chercher à convaincre – Google dirait de ne surtout pas faire le Mal !)
Depuis bientôt deux ans, nous nous sommes efforcés de retransmettre une certaine information, pour tenter de faire évoluer le système. (Tout en évoluant nous-mêmes) Beaucoup de choses ont été dites, proposées, pour un Retour quasiment nul. Ce sont des semaines et des mois de travail, de recherches et d’écoutes considérables, pour un résultat qui en fera rire plus d’un ! Il est donc temps pour nous de réduire considérablement nos activités sur Internet, pour nous consacrer au retour à Notre essentiel.
Ce premier bilan est le constat qu’il est encore trop tôt. Les êtres ne sont pas prêts… Pour des échanges respectueux et dans les deux sens, ce qui fait cruellement défaut encore aujourd’hui sur la toile, comme dans le monde réel. C’est le terrible paradoxe du Web 2.0. Nouvelle forme d’esclavagisme au service de mamon et de ses sbires… (Ce n’est pas la première fois que nous faisons cette constatation malheureuse !) Et la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial… C’est à partir du chaos du haut vers la base par la crise qui a été voulue en vue de nous rendre encore plus dépendant du système ; incapable de s’en sortir dès lors par nos propres moyens. Nous courons vers son implosion, nous ne pouvons plus rien faire ; (Les solutions ont été dites, directement ou indirectement par nous ou par d’autres et à de très nombreuses reprises sur ce site) Si ce n’est juste : Regarder tout en gardant la foi – Retour à la case départ – C’est le serpent qui se mord la queue !!!
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Commentaire (FERME)
Posté le 4 février 2009 @ 22:41
Bonsoir alcidejet,
Merci pour ton com, c’est très sympa et encourageant pour la suite 🙂
J’ai juste besoin de prendre un peu de Recul et de repos surtout.
Amitiés A+,
Hugues 😉
Posté le 5 février 2009 @ 2:35
J’aime bien vos articles et les sujets de vos topics en général. Ne laissez pas tomber, c’est la période qui veut ça…Vous avez plus d’influence que vous ne le pensez, et le monde est en pleine mutation, c’est lent, mais ça va bientôt devenir violent, à nous de rien lâcher!
ps: pour les changements de couleurs des mots, c’est peut être trop violent même si vous voulez gardez le thème arc en ciel, pourquoi ne pas mettre un fond coloré différent pour chaque article? (ou par thème:bleu=internet , vert=éco, rouge=politique etc..)
Posté le 5 février 2009 @ 8:36
Bonjour acidsuicidebaby,
Merci à toi également pour tes encouragements et tes critiques.
Laisser tomber le mot est peut être un peu trop fort.
Je pense qu’il faut parfois chercher à comprendre pour continuer à avancer positivement. Mais heureusement, je ne suis pas le seul à agir de la sorte sur le net. Il y en a pleins d’autres et ils sont de plus en plus nombreux chaque jours. C’est donc extrèmement positif.
Un proverbe dit : « Soyez le changement que vous souhaitez pour les autres ».
Jusqu’à aujourd’hui, j’ai dis ce que j’avais à dire. J’ai relayé un maximun d’infos permettant à chacun, non pas de boire mes écris ; mais de lire, chercher à comprendre pour agir positivement et dans la NON-Violence. Il me semble, que mon travail, ou celui d’autres internautes extrêmement actifs sur la Toile se passent de tous commentaires… La Réalité est là, devant nos yeux et elle est déjà à notre porte. Si les gens aujourd’hui continuent à ignorer ce qu’ils voient. Que puis-je y faire ? Rien ! Personne ne peut amener les gens a comprendre et a changer s’ils ne le souhaitent pas. Le changement est difficile, certe. Mais ceci est également vrai pour chacun d’entre nous. Si le monde tel qu’on nous le propose leur convient. Ce n’est pas mon problème, mais le leur. Mes écris, mon travail n’y changeront RIEN !
Sur cent personnes tu en as une a tout casser qui va réagir, les autres comme des moutons vont suivrent en attendant que tu te sacrifies pour eux.
Ca fait plus de 20 ans que je me bats. Nous sommes dans un tournant crutial de notre existence. Aujourd’hui, nous sommes en face de nos responsabilités. Soit nous continuons à faire la sourde oreille… (Comme les trois singes); soit… Je ne sais pas… C’est à chacun de voir…
En tous les cas, encore merci à toi,
A très bientôt,
Amitiés,
Hugues 😉
Posté le 6 février 2009 @ 1:56
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince
courageux, habile et intelligent. Pour parfaire
son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès
d’un Vieux Sage.
« Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie », demanda
le Prince.
« Mes paroles s’évanouiront comme les traces
de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant
je veux bien te donner quelques indications. Sur ta
route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes
indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin
irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche
pas à t’en détourner, car tu serais condamné à
revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis
t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans
ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis
cette route, droit devant toi. »
Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea
sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur
laquelle on pouvait lire « CHANGE LE MONDE ».
« C’était bien là mon intention, pensa le Prince,
car si certaines choses me plaisent dans ce monde,
d’autres ne me conviennent pas. » Et il entama son
premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur
le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre,
à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant,
mais pas l’apaisement du coeur. Il réussit à changer
certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
« Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « J’ai appris,
répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon
pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi
et ce qui n’en dépend pas ». « C’est bien, dit le
Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce
qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à
ton emprise. » Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde
porte. On pouvait y lire « CHANGE LES AUTRES ».
« C’était bien là mon intention, pensa-t-il.
Les autres sont source de plaisir, de joie et
de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume
et de frustration. » Et il s’insurgea contre tout
ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez
ses semblables. Il chercha à infléchir leur
caractère et à extirper leurs défauts.
Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité
de ses tentatives de changer les autres, il croisa
le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris
sur le chemin ? » « J’ai appris, répondit le Prince,
que les autres ne sont pas la cause ou la source
de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
et de mes déboires. Ils n’en sont que le
révélateur ou l’occasion. C’est en moi que
prennent racine toutes ces choses. » « Tu as raison,
dit le Sage. Par ce qu’ils réveillent en toi,
les autres te révèlent à toi-même. Soit
reconnaissant envers ceux qui font vibrer en
toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers
ceux qui font naître en toi souffrance ou
frustration, car à travers eux la Vie t’enseigne
ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu
dois encore parcourir. » Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte
où figuraient ces mots « CHANGE-TOI TOI-MEME ».
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
c’est bien ce qui me reste à faire, » se dit-il.
Et il entama son 3ème combat. Il chercha
à infléchir son caractère, à combattre ses
imperfections, à supprimer ses défauts, à changer
tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout
ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut
quelque succès mais aussi des échecs et des
résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :
Qu’as-tu appris sur le chemin ? »
« J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en
nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres
qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à
briser. »
« C’est bien, » dit le Sage.
« Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à
être las de ma battre contre tout, contre tous,
contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de
cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner,
de lâcher prise. » « C’est justement ton prochain
apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant
d’aller plus loin, retourne-toi et contemple
le chemin parcouru. » Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le
lointain la 3ème porte et s’aperçut qu’elle
portait sur sa face arrière une inscription qui disait
« ACCEPTE-TOI TOI-MEME. »
Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette
inscription lorsqu’il avait franchi la porte la
première fois, dans l’autre sens. « Quand on combat
on devient aveugle, se dit-il. » Il vit aussi,
gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui :
ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites,
tous ses vieux démons. Il apprit alors à les
reconnaître, à les accepter, à les aimer.
Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer,
se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »
« J’ai appris, répondit le Prince, que détester
ou refuser une partie de moi, c’est me condamner
à ne jamais être en accord avec moi-même.
J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement,
inconditionnellement. »
« C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première
Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème
porte. »
A peine arrivé de l’autre côté, le Prince
aperçut au loin la face arrière de la seconde
porte et y lut
« ACCEPTE LES AUTRES ».
Tout autour de lui il reconnut les personnes
qu’il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu’il
avait aimées comme celles qu’il avait détestées.
Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait
combattues. Mais à sa grande surprise, il était
maintenant incapable de voir leurs imperfections,
leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement
gêné et contre quoi il s’était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. « Qu’as-tu
appris sur le chemin ? » demanda ce dernier.
J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en
accord avec moi-même, je n’avais plus rien à
reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux.
J’ai appris à accepter et à aimer les autres
totalement, inconditionnellement. » « C’est bien, »
dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse.
Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la
face arrière de la première porte et y lut
« ACCEPTE LE MONDE ».
Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette
inscription la première fois. Il regarda autour
de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à
conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé
par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur
perfection. C’était pourtant le même monde
qu’autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé
ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »
« J’ai appris, dit le Prince, que le monde
est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
pas le monde, elle se voit dans le monde.
Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
Quand elle est accablée, le monde lui semble
triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai.
Il est là ; il existe ; c’est tout. Ce n’était
pas le monde qui me troublait, mais l’idée que
je m’en faisais. J’ai appris à accepter sans
le juger, totalement, inconditionnellement. »
C’est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme.
Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec
les autres et avec le Monde. » Un profond sentiment
de paix, de sérénité, de plénitude envahit le
Prince. Le Silence l’habita. « Tu es prêt,
maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit
le Vieux Sage, celui du passage du silence de
la plénitude à la Plénitude du Silence ».
Et le Vieil Homme disparut.
Posté le 6 février 2009 @ 2:16
Bonsoir Chris,
Je ne connaissais pas cette petite histoire, merci de l’avoir mis ici en com 🙂
Amitiés A+ 😉
Posté le 6 février 2009 @ 17:57
Je comprends ta lassitude Hughes. Changes ta manière de travailler, si tu le veux, mais n’arrêtes pas. Le mur de Berlin est tombé en une nuit, mais combien de révolutions intérieures silencieuses dans la tête des gens avant d’en arriver là. Laisses le temps au temps. Edouard.
Posté le 6 février 2009 @ 20:13
Merci à vous deux, Martine et Edouard.
Je passe un très mauvais cap en ce moment… C’est ça, une forme de lassitude.
Je ne compte pas laisser tomber…
Juste prendre un peu de recul et du Repos Surtout.
L’intervention de Sarkozy hier soi m’a achevé… (Rires…)
Bises à vous deux,
Amitiés A+,
Hugues 😉
Posté le 4 février 2009 @ 21:48
J’aime bien certains article, je n’accorche pas avec l’ambiance surchargée des pages, mais serais déçu de ne plus pouvoir profiter de votre singularité.
Faites ce qui vous semble bon, faites-le simplement !
Amitités
Alcidejet