La Différence entre l’enfer et le Paradis Selon Confucius
La Différence entre l’Enfer et le Paradis Selon Confucius 🙂
Une nuit, Confucius rêva qu’on l’emmenait voir les damnés qui croupissaient en enfer. Quelle ne fut pas sa surprise de s’apercevoir que l’enfer était une salle de banquet énorme et les suppliciés étaient assis autour d’une table qui grinçait sous le poids d’une nourriture aussi abondante que délicieuse. Ils avaient le droit de manger tout ce qu’ils voulaient mais ils devaient impérativement utiliser des baguettes. Or, leur baguettes mesuraient 1.50 mètre de long. Les damnés mourraient tous de faim et ils savaient qu’ils passeraient l’éternité à contempler cette nourriture sans pouvoir la manger car ils n’arriveraient jamais à résoudre le problème des baguettes. Tel était leur calvaire, telle était leur pénitence !
Juste après on emmena Confucius au paradis. Il fut encore plus surpris de découvrir que ce paradis était la réplique exacte de la pièce précédente à ceci près que les convives sont rassasiés et nagent dans le bonheur. Pourtant, eux aussi doivent respecter la même règle : manger avec des baguettes de 1.50 mètre de long. Mais, ce qui les différenciaient des damnés c’est qu’ils se nourrissaient les uns les autres – Synergie 🙂
« Je ne peux Rien pour qui ne se pose pas de questions. » Confucius
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Posté le 24 avril 2014 @ 14:39
Propos de Jim Rohn rempli de Bon Sens :
«Pour rester en bonne santé longtemps il y a un truc très simple et facile qui consiste à manger une pomme par jour.
Connaissez-vous quelque chose d’aussi simple et facile que de manger une pomme par jour ?
Et bien oui !
Pour beaucoup de gens il y a quelque chose d’encore plus simple et facile que de manger une pomme par jour …
… c’est de ne pas la manger !
Voilà donc le témoignage de Jim Rohn, eu égard aux résultats auxquels vous devez vous attendre avec ce genre de pratique.
«Les gens me demandent souvent comment j’ai pu autant réussir en l’espace de 6 ans, alors que la plupart des gens que je connaissais n’avaient pas réussi.»
La réponse est simple : les choses que j’ai trouvé «faciles à faire» … ils ont trouvé qu’elles étaient … «faciles à ne pas faire».
J’ai trouvé facile de me fixer les objectifs qui pourraient changer ma vie. Ils ont trouvé que c’était facile de ne pas le faire.
J’ai trouvé facile de lire des livres qui pourraient modifier mes pensées et mes idées. Ils ont trouvé que c’était facile de ne pas le faire.
J’ai trouvé facile de suivre des formations et des séminaires, et de côtoyer d’autres gens qui avaient réussi. Ils ont dit que cela n’avait probablement pas d’importance. Si je devais résumer, je dirais que ce que j’ai trouvé facile à faire, ils ont trouvé que c’était facile à ne pas faire.
Six ans plus tard, je suis un millionnaire et ils continuent tous à blâmer l’économie, le gouvernement et la politique des grandes entreprises, alors qu’ils ont négligé de faire les choses essentielles, les choses faciles.
En fait, la principale raison qui fait que la plupart des gens ne réussissent pas aussi bien qu’ils le pourraient et le devraient, peut être résumée par un simple mot : Négligence.
Ce n’est pas le manque d’argent … les banques sont pleines d’argent.
Ce n’est pas le manque d’occasion … l’Amérique et l’essentiel du monde libre, continuent à offrir des occasions sans précédent depuis les six mille dernières années d’histoire recensées.
Ce n’est pas le manque de livres … les bibliothèques sont pleines de livres … et ils sont gratuits !
Ce ne sont pas les écoles … les salles de classe sont remplies de bons enseignants. Nous avons une abondance de ministres, de leaders, de conseillers et de consultants. Tout ce dont nous avons besoin pour devenir riche et puissant et sophistiqué est à portée de main.
La raison majeure qui fait que si peu de personnes profitent de tout ce que nous avons est tout simplement, la négligence.
La négligence est comme une infection. Laissée sans surveillance, elle s’étendra à travers tout notre système de discipline et aboutira éventuellement à une panne complète, à la rupture d’une vie humaine potentiellement remplie de joie et de prospérité.
De ne pas faire les choses que nous savons que nous devrions faire, fait que nous nous sentons coupable, et la culpabilité mène à une érosion de la confiance en soi !
Alors que notre confiance en nous diminue, notre niveau d’activité diminue également !
Et comme notre activité diminue, inévitablement nos résultats déclinent.
Et comme nos résultats en souffrent, notre attitude commence à s’affaiblir.
Et alors que notre attitude entame le lent virage qui va du positif au négatif, la confiance en nous diminue encore plus … et ainsi de suite …
Donc, ce que je vous suggère, quand s’offre à vous le choix entre «facile à» et «facile à ne pas», c’est de ne pas négliger de faire les choses simples, basiques et «faciles» mais qui sont potentiellement des activités et des disciplines qui pourront changer votre vie.» Jim Rohn