George Soros le défi de l’argent
George Soros le défi de l’argent (Passage Choisi)
Le passage qui va suivre et qui vaut son pesant d’Or (Page : 34) est tiré de l’ouvrage cité ci-dessus en titre. Il est sorti en 1995 chez plon éditeur. Je suis tombé sur cet ouvrage, par hasard ; acheté un Euro aux puces, (Ma version – Éditions : Pocket) mais je sais : le hasard n’existe pas ! C’est incroyable comme ce passage colle parfaitement à ce que nous vivons présentement avec Macron !
« De même en politique, plus les politiciens, pour se faire élire, multiplient les promesses qu’ils ne pourront tenir, plus ils affaiblissent le système démocratique. Si les hommes politiques se contentent de promettre aux électeurs ce qu’ils supposent être leurs désirs, les électeurs n’ont plus de critères pour choisir leurs candidats, ce qui détruit le système.
Ne pensez-vous pas que les hommes politiques sont prisonniers d’un système électoral, et pas seulement électoral, dont ils ne peuvent sortir sous peine d’être balayés de la scène politique ? Ou croyez-vous qu’ils pourraient s’imposer en défendant de vraies valeurs ?
Dans nos sociétés, on attribue une valeur trop importante à l’argent. Je m’interroge sur les valeurs qui dominent l’économie de marché. En glorifiant un nouveau « darwinisme social », en célébrant le triomphe des plus aptes socialement, on menace l’avenir de l’organisation sociale. Si les gens valorisaient davantage leurs rôles de citoyens, la défense de la société ouverte, le bon exercice d’un métier, l’économie de marché fonctionnerait mieux. Mais c’est le contraire qui se produit. Le marché a miné les valeurs traditionnelles, qu’elles soient religieuses ou rationnelles. Dans les systèmes communistes, l’État occupait trop de place ; ici le marché est trop envahissant. Le culte du succès, ultime critère de valeur aujourd’hui, est devenu une source d’instabilité, car il annihile la capacité à établir la différence entre le bien et le mal, le vrai et le faux. L’argent devient la valeur ultime parce que l’homme contemporain sait que cet argent représente aussi une valeur pour les autres. Ce qui devrait être un moyen d’échange devient la valeur suprême. Dangereuse absurdité ! »
J’aurais voulu le faire exprès que je n’y serais pas arrivé. En plus ces paroles sortent de la bouche d’un spéculateur de génie. Les propos de George Soros sont tout simplement incroyables de bon sens. Je ne m’attendais pas à de tels écrits. Tout est dit !
Cette prédiction s’est déjà réalisée avec Macron au pouvoir. Dernière étape avant le basculement quantique vers un nouveau Monde à partir de la France ? L’avenir nous le dira très bientôt. Personnellement je pense que c’est inévitable à moins de risquer une nouvelle révolution ! Si c’est le cas : Des têtes risquent de tomber … (Car un système oligarchique ne peut pas tenir en France)
D’ailleurs c’est ce qu’il dit lui-même (George Soros) en page 24 : « Le peuple français a élu Jacques Chirac parce qu’il voulait un changement. (Avec Sarkozy, Hollande et Macron aujourd’hui, c’est pareil !) Or il y a la continuité. Si l’on ne parvient pas à provoquer un changement pacifique, (Un Revenu Universel à 1400€ pour tous en Europe ?) il pourrait s’en produire de plus violents, surtout dans ce pays aux traditions révolutionnaires. Ce n’est pas une menace à court terme, mais, si la France n’est toujours pas sortie de la récession en 1999, date de l’échéance de la monnaie unique, l’humeur du peuple pourrait évoluer dangereusement. » (C’est toujours aussi vrai aujourd’hui en 2018 !)
À moins que cela soit voulu pour la mise en place du nouvel ordre mondial (Ordo ab chaos – L’ordre à partir du désordre ?) La question étant : Cherchent-ils la confrontation avec le peuple … Sont-ils fous à ce point ?
Avec tout ce qui se passe présentement, plus les directives européennes : On dirait bien que Oui !
Nous sommes donc très loin de la Société Ouverte vision de George Soros ! (Entre-Autres)
Du 35e étage de son immeuble de Manhattan, dans la salle des marchés, George Soros semble surveiller et diriger le marché économique du monde.
Comment a-t-il fait, d’une modeste société financière, une fantastique machine à faire de l’argent ? Quand, comment et pourquoi ce petit Hongrois rescapé de l’holocauste est-il devenu un spéculateur de génie, capable de faire trembler les places boursières, un homme d’État sans État , et déjà, malgré lui, un mythe ?
Symbole de la mondialisation aveugle, ce milliardaire philosophe et philanthrope est aussi le plus féroce critique du système qui l’a fait roi. Ce livre d’une intelligence fulgurante révèle les secrets d’un personnage fascinant.
George Soros est un des hommes les plus influents et les plus mystérieux qui soient. Que pense-t-il de l’économie française, de l’Europe, de notre avenir ? Comment vit-il, réfléchit-il, agit-il ? Ce livre offre l’extraordinaire privilège d’entrer dans l’intimité d’un des maîtres du monde !
🙂 Émancipons l’humain pour une société ouverte |
Olivier Nerot | TEDxIssylesMoulineaux 🙂
Nos modèles de société deviennent obsolètes et s’obstinent à conserver leur structure. Or, Les nouvelles technologies ouvrent la possibilité de sociétés décentralisées radicalement bottom-up. Ainsi, chaque humain devrait occuper la place qui lui incombe : Le centre de son Univers. L’homme « fait société » et se construit à travers elle. Mais il en arrive à en accepter ses institutions comme une évidence : éducation, politique, droit, monnaie … Difficile de les questionner sans être qualifié de rebelle utopiste, en dépit des crises systémiques : perte de valeur des diplômes, crises monétaires, pauvreté, extrémismes …
Dissimuler, combattre ou colmater jusqu’au non-sens pour conserver ce pour quoi tant d’efforts ont été faits n’est pas la solution ! De nouvelles solutions émergent et sont expérimentées avec succès, redéfinissant nos fondements : crypto monnaies, organisations autonomes décentralisées, dividende universel, jetons de réputation, bots, oracles et intelligence artificielle ouvrent de nouvelles voies pour centrer nos sociétés autour de chaque humain, autonome et émancipé, en redéfinissant nos valeurs et croyances. En appui à son doctorat en Science Cognitives, Olivier Nérot s’implique depuis plus de 20 ans dans les recherches et projets liés à l’auto-organisation, partant de l’apprentissage au sein d’une population neuronale, jusqu’au management de l’intelligence collective, le conseil en e-gouvernance ou les outils de recherche collaboratifs, en passant par le développement de solutions P2P. Après la création de plusieurs startups, d’une galerie d’art digital, il cherche à décloisonner technologie, art et société, en appliquant et diffusant cette vision «réticulaire», basée sur l’émergence, la systémique et la pensée complexe, autour de nombreux projets d’innovation.
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🙂 Et pour aller plus loin, voir ici la Vidéo de Gregg Braden sur la Divine Matrice 🙂
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Posté le 24 février 2018 @ 15:36
La meilleure façon d’apprendre quelque chose c’est d’en être profondément passionné. “Travailler dur pour quelque chose dont vous n’avez rien à faire ça s’appelle du stress, travailler dur pour quelque chose que vous aimez ça s’appelle de la passion” dit Simon Sinek. Quant à Jobs: “la seule façon de faire de l’excellent boulot c’est d’adorer ce que vous faites”. La Silicon Valley a un mantra bien connu: “fail early, fail often”, plante-toi souvent, plante-toi tôt.
Je présente aujourd’hui son deuxième mantra : “Love Can Do”, littéralement “il suffit d’aimer ça” mais au delà “faites ce que vous aimez et faites ce que vous savez faire”. Les entreprises au dessus de la mêlée dans leur secteur sont celles qui font du Love Can Do.
Chercheur en neurosciences cognitives, Idriss J. Aberkane est expert en Noopolitik, l’interaction entre savoir et pouvoir (géopolitique de la connaissance). Il enseigne la géopolitique et l’économie de la connaissance à l’École Centrale de Paris, fait de la recherche en ingénierie biomimétique et cognitive à l’Université de Paris-Saclay et officie comme chercheur au laboratoire collaboratif mondial Kozmetsky à Stanford. Il est Ambassadeur du Campus Numérique des Systèmes Complexes de l’Unesco-Unitwin, qui représente plus de 3 millions d’étudiants à travers le monde. Il étudie l’interaction entre savoir et pouvoir et entre savoir et paix. Il a étudié la science du cerveau à l’Université Paris-Saclay, à l’École Normale Supérieure, à Cambridge et au Collège de France.
Il pense que nous entrons dans une ère d’ergonomie neurologique, dans laquelle les flux de savoir seraient mieux adaptés à la forme et aux fonctions du cerveau humain, tendance qui pourrait instaurer une ère de paix.
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