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Category: Plus…

Programme d’Amma à Toulon 2007 – Du 31/10 au Samedi 3 Novembre 2007

30 octobre, 2007 (21:56) | Plus... | By: lespacearcenciel

Amma sera à Toulon du 31/10 (demain !) au Samedi 3 Novembre 2007 – 4 jours de programmes.

Darshan, Bhajans, Puja, Devi Bhava sont des moyens qu’Amma nous offre pour nous rapprocher de nous-mêmes, de notre vraie nature de joie, d’amour et de paix.

Le Darshan
Moment où Amma accueille, en les serrant dans ses bras dans une étreinte singulière, tous ceux qui veulent venir à elle. Instants où l’on peut contempler l’Amour inconditionnel à l’oeuvre et s’imprégner d’un climat de paix et de joie.

Les Bhajans
Les chants dévotionnels sont un moyen de concentrer l’esprit sur le divin. Ces chants font partie de la tradition du bhakti yoga, qui fait appel à l’amour et à la dévotion pour Dieu ou pour le Soi.

Âtma Puja
Rituel d’offrande dans une forme simplifiée à laquelle nous pouvons tous participer, cette puja permet la clarification des pensées et l’ouverture du coeur.

Le Devi Bhava
Darshan particulier au cours duquel Amma incarne plus spécifiquement l’aspect de la «Mère divine», tel qu’il est représenté dans la tradition hindoue. C’est un moment très intense où Amma manifeste d’une façon encore plus évidente son amour et sa compassion pour l’humanité.

L‘entrée est libre et gratuite. Les horaires sont libres tout en sachant que le programme du matin en présence d’Amma débute à 10h et celui du soir à 19h30. Lire la suite… (Nous y serons présents demain après midi 😉 )

L’influence de la Musique sur les Plantes.

30 octobre, 2007 (21:41) | Plus... | By: lespacearcenciel

L’influence de la Musique sur les Plantes

Les Indiens d’amérique…

29 octobre, 2007 (22:17) | Plus... | By: lespacearcenciel

 Les Indiens d’amérique – Le dessous des cartes

La Bibliothèque Numérique Mondiale prévue en 2008

29 octobre, 2007 (22:02) | Internet, Plus... | By: lespacearcenciel

bibliotheque-numerique-mondiale.jpgÉcouter un ancien esclave américain raconter son histoire, tourner les pages d’un livre évoquant d’anciens trésors égyptiens, étudier minutieusement de vieilles cartes en latin: tout cela devrait être possible à partir de 2008 grâce à la Bibliothèque numérique mondiale.

Des journalistes ont pu avoir cette semaine à Paris un premier aperçu, par l’intermédiaire d’un prototype, de cette réalisation conçue sur Internet, à l’initiative de la Bibliothèque du Congrès américain, de l’UNESCO et de bibliothèques internationales qui sont partenaires. Les responsables du projet espèrent que le site pourra être lancé l’an prochain.

Abdul Waheed Khan, directeur adjoint de l’UNESCO pour la communication et l’information, et le bibliothécaire du Congrès, James Billington, ont signé un accord mercredi au siège de l’UNESCO à Paris permettant de faire avancer un peu plus le projet. Le concept est modelé sur le «Library of Congress’ American Memory», un système d’archivage numérique du Congrès américain mis en place dans les années 1990 et qui dispose aujourd’hui de 11 millions de documents en ligne. Lire la suite…

L’irradiation des aliments…

29 octobre, 2007 (20:58) | Plus... | By: lespacearcenciel

L’irradiation des aliments : un instrument méconnu de la mondialisation libérale

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L’irradiation des aliments (officiellement appelée « ionisation ») est un procédé utilisé pour décontaminer les denrées, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et conférer une meilleure conservation (parfois seulement en apparence). Il consiste à soumettre les produits à un rayonnement gamma de très haute énergie (directement issu de Cobalt 60, ou plus rarement de Césium 137) ou à un faisceau d’électrons de très haute énergie. Il s’agit d’une technologie nucléaire mise en oeuvre dans des installations spécifiques.

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.

Elle permet ainsi un traitement de long terme de très nombreux produits, des déplacements sur longue distance et des stockages de longue durée. Ces avantages, ainsi que son efficacité multi-usages, en font une technologie particulièrement appropriée pour l’économie « moderne » mondialisée et pour le développement des échanges internationaux.

Une technologie à hauts risques

Si l’irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, elle provoque une perte de vitamines et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse dus à la prolifération de radicaux libres et de molécules nouvelles au sein de l’aliment irradié. Par ailleurs, l’irradiation peut être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production Ou encore, l’équilibre microbiologique de l’aliment irradié étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement et proliférer puisque leur « concurrents » ont été éliminés.

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires, et les dommages liés aux modes de production et de distribution industriels : pollutions et production de gaz à effet de serre (y compris par la multiplication des transports longs liés à la délocalisation des productions), atteinte à la biodiversité par la spécialisation des productions, destruction de milieux naturels.

Enfin, ce mode d’organisation de la production et des échanges agroalimentaires implique des risques socio-économiques. La délocalisation des productions vers des pays à bas coûts sont une menace pour l’emploi et l’économie locale. La spécialisation des productions dans l’agriculture conduit à l’extension de monocultures et de la culture intensive, qui, au-delà des conséquences environnementales qu’elles induisent, compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète. La concentration des entreprises renforce les multinationales, dont le pouvoir économique, financier et politique constitue une menace réelle pour la démocratie. Lire la suite…

Ecofestival De Moisdon 21 et 22 Juillet dernier…

29 octobre, 2007 (00:38) | Plus... | By: lespacearcenciel


Les 21 & 22 juillet, (Mince, trop tard !) la maison autonome de Moisdon-la-Rivière fêtera ses 10 années d’autonomie.
La révolution ne s’est pas faite en un jour. Achat de la maison en 1976 pour « 40 000 francs » (6 100 euros). La conception de la maison autonome n’a rien à voir « avec un délire de baba cool », martèle M. Baronnet. La seule référence politique admise, c’est René Dumont, premier candidat écologiste à la présidentielle en 1974. En se mettant au vert, M. et Mme Baronnet ont expérimenté leurs idées à domicile. Avec leurs quatre enfants.
Première résolution : la chasse au gaspi. « La première source d’énergie, c’est celle que l’on ne dépense pas, affirme M. Baronnet. Traduction : une douche, « c’est 5 litres maximum ». Les robinets s’actionnent à coups de pédales, pour couper court à toute dilapidation. L’eau est guidée du toit vers deux citernes enterrées, 800 litres au total.
Pour conquérir son autonomie énergétique, la famille Baronnet a d’abord installé des photopiles tournantes (2 220 euros les 6 m2), complétées par un chauffe-eau solaire. Faute de solution dans le commerce – on était alors en 1997 -, M. Baronnet s’est ingénié à élaborer, avec un ami, un prototype d’éolienne. L’engin affiche une « petite puissance de 400 W. Des batteries permettent de stocker le surplus d’énergie produit. L’énergie est garantie sept mois de l’année par le solaire, deux mois par l’éolien. Le reste du temps, un poêle associé à un bouilleur fait l’affaire, nécessitant « l’achat de 400 euros de bois par an ». A l’arrivée, « on consomme dix fois moins d’eau et d’électricité que la moyenne des Français » et… la gratuité est totale. Prix de revient final de la maison : « Moins de 35 000 euros, sachant que je n’ai quasiment pas eu recours à des artisans », précise M. Baronnet.
Route de Louisfert F-44520, Moisdon-la-rivière Tél/Fax : 02 40 07 63 68
Baronnet(AT)
http://www.heol2.org/