PROSPERER SUR INTERNET…
Il n’existe pas de formation spécifique pour percer dans le monde numérique. Il y a cependant un trio gagnant à réunir sans faute :
1. de bons amis
2. de bonnes idées
3. un bon bagout
Et ça ne s’apprend nulle part. C’est l’école de la vie !
Sur le Web, tout va très vite. Les cinéastes, chroniqueurs et artistes en herbe foisonnent. Chacun y va de sa petite création (plus ou moins foireuse) : blogs, vidéos, articles d’actualité … Créer son site est réservé à ceux qui ont un concept, une idée révolutionnaire. Et là ça rigole plus. Il faut s’accrocher : les places sont chères ! Seuls les plus forts survivent, Internet c’est la jungle.
UNE IDEE , ça n’a pas de prix !
Pour l’idée, on ne peut pas faire grand-chose. Il n’y a pas de recette et les meilleurs trouvailles sont souvent les plus décriées au départ. Personne n’y croit. SAUF VOUS. Et vous allez tout faire pour la mener à son terme. Déjà il faut lui trouver un nom à ce concept. Ce nom se dépose auprès de l’institut Nationnal de la Propriété Industrielle (I.N.P.I.) En gros on achète le droit d’utiliser cette adresse pour notre site. C’est notre marque. Ensuite il faut payer un hébergeur et le nom de domaine. C’est-à -dire le service qui gardera en mémoire tout le contenu de notre site pour l’afficher sur le net à l’adresse .fr ou .com qu’on aura choisie. Tout ça coûte un peu d’argent (300 Euros environ). Pour le matos, quelques bécanes suffisent et les logiciels pour le développement du site sont maintenant libres et gratos.
COMPLEMENTARITE
Ensuite il faut savoir bien s’entourer. Il s’agit de trouver des gens ayant des connaissances complémentaires aux siennes. Et là , on active son réseau, on bricole. Un pote ingénieur un peu geek fera office de webmaster. A lui la lourde tâche de convertir votre idée en langage informatique. Ça tombe bien il le parle couramment. Sa copine aura la rubrique mode. Le pote en école d’art sera graphiste. Et le dernier qui fait du droit, s’occupera de la propriété intellectuelle. De toute façon au début il ne faut pas espérer gagner sa vie ! Et encore moins payer les gens qui bossent avec nous. Si le « succès » est au rendez-vous, quelques retombées pubs sont possibles. Pas grand-chose mais Google place des liens pubs sur votre site contre un peu de pépettes. Le début de la fortune.
Et un jour, Big Billou (Bill Gates) débarquera pour signer un chèque en millions de dollars. On peut toujours rêver … Arthur Garnier pour « Comça. »